L’actualité du Covid’19 traine avec elle de nombreux ratés depuis l’apparition en novembre 2019 du nouveau Coronavirus. Conséquence d’une incompétence mondiale face à une maladie inconnue de beaucoup, et surtout par défaut d’un protocole applicable au Covid’19, mais plus encore par un souhait, largement partagé par les scientifiques à la solde de grosses boîtes de médicaments, pour une mise en place d’un vaste programme de vaccination à l’échelle planétaire (je reviendrai sur cette question de la vaccination dans l’article qui suivra). Cette pandémie a révélé à quel point la médecine moderne est essentiellement faite de protocoles, limitant les champs de compétence des médecins, qui sont désormais formés pour mettre en pratique des protocoles et suivre des procédures dont ils ne maîtrisent pas les contours. On leur a enlevé la compétence clinique d’accompagner le patient à la guérison. Ils sont désormais interdits de se fier à leurs impressions ; et ils reçoivent injonction de faire volteface de leur intuition de médecin. La médecine humaine n’étant pas une science exacte de par l’existence des domaines qui échappent aux raisonnement scientifiques et aux lois des sciences expérimentales, fait qu’une médecine des algorithmes et des calculs destine l’humanité vers son extinction, vers un retranchement où il n’y aura plus aucun lien entre « humain » et « humanité ». Nous sommes devenus, tous, des objets d’études…
