Toute idée, considérée comme une illumination soudaine de la conscience, mérite de prime abord d’être mise sous « projecteurs » sans préjugés. Parce qu’il n’y a pas une idée bonne ou mauvaise à la première impression, une attention doit être accordée à ce point lumineux de l’être par un droit à passer dans le prisme du jugement de la conscience consciente d’une identité, qui seule, décidera de la transformation de l’idée en une réalité existante parce que l’idée a vocation à trouver place dans entité pensante. Et le passage de l’abstraction à la représentation de l’idée est la première étape dans toute démarche d’écriture. L’écrivain doit en tout point faire exister l’idée qui prend de lui sa première inspiration.
