2021, une année d’espoir et de quiétude retrouvée, ou prolongation du cauchemar Covid’19 ? La star de cette nouvelle année sera certainement le vaccin contre le Covid’19, promesse qui, sans avoir fait ses preuves, suscite déjà l’enthousiasme des grandes puissances de notre monde, grandes perdantes de la crise sanitaire. Les Etats, ceux qui en ont les moyens, ont déjà arrêté le calendrier des vaccinations. Dès le début du mois de janvier pour la plupart puisque le Royaume-Uni a anticipé en débutant dès le mardi 8 décembre 2020, les pays développés prendront le risque de vacciner leur population par un produit vite-fait qui déroge à toutes les règles scientifiques et éthiques que le monde de la science, c’est-à-dire eux-mêmes, a mis en place depuis des décennies pour, soit disant, garantir et rendre fiable tout produit médical destiné au grand public. Cette décision exceptionnelle est la preuve flagrante que la peur a eu raison de la raison. La science est devenue un outil au service des politiciens qui en usent pour manipuler à leur guise leurs administrés, un instrument d’asservissement des peuples, voire de leur annihilation ; la dictature scientifique qui prend forme sous nos yeux de non-initiés et de profanes de la science est désormais une réalité. Nous avons encore en mémoire ce qu’a fait la France au début de la pandémie. Pour des raisons économiques et à des fins politiques, les scientifiques français, la « grande » majorité, avait clamé haut et fort que les masques chirurgicaux et de protection individuel ne servaient à rien ; puis, sans une once de dignité ni de reconnaissance de leurs erreurs par un acte de repentance qui aurait redonner confiance, elle a imposé le masque après avoir eu un circuit d’approvisionnement, et ensuite à rendu pénal le non-port du masque.

Dans l’urgence donc, une démarche scientifique, qualifiée d’inédite, officiellement, et révolutionnaire est sortie des placards comme par un coup de baguette magique. En effet, nouvelle technique, celle utilisation l’ARNm qui code une des protéines de surface du virus, est une technique expérimentale qui existe depuis plus de 20 ans et qui a été entachée de beaucoup d’erreurs et de drames ; c’est donc le même protocole dont on ne peut se défaire du format et qui a constitué la base de milliers de travaux de recherche qui a été mis en application, à la seule différence que, ne pouvant plus se servir des populations des pays pauvres, cobayes historiques, dans le cadre de l’évaluation de ce vaccin anti-Covid’19, et parce que l’hécatombe prophétisée à l’endroit des pays très pauvres n’a pas eu lieu, qu’ils ont sorti ce prétexte de « technique révolutionnaire ».

La proximité avec la nature et l’instinct de survie ont pris le dessus dans les milieux précaires; cela a permis à ces peuples qui enregistrent un niveau de misère très avancé, de se livrer en pâture au coronavirus, lequel n’a pas eu raison d’eux. Les pays puissants, désarmés par leurs normes sanitaires et sûres de leurs systèmes de santé, ont permis à ce virus, phénotypiquement et ironiquement proche de la noblesse, d’élire domicile parmi eux. Les algorithmes ont fini par « bugguer ». Les pays sous-développés, n’ayant pas alors de moyens de mettre en place des plans de confinement avec assistance sociale et explosion des budgets, parce qu’ils étaient face et dos au mur, sont aller au-devant de la pandémie, pour acquérir malgré eux une immunité collective qui s’avère, à l’évidence, la meilleure option pour mettre fin à la pandémie. Il se serait passé la même chose il y’a trois décennies, on ne serait plus en train d’en parler. Les confinements légers qu’ont mis en place certains pays ont favorisé l’installation du virus. Et avec le temps, l’on se rend compte qu’il aurait fallu faire un confinement strict, selon le modèle de la Chine pour les pays ayant abrité des foyers épidémiques, ou une fermeture totale des frontières pour ceux qui n’avaient pas été touché par la pandémie. La lutte contre le coronavirus répond à la loi du tout-ou-rien, les deux extrêmes étant les seules à être efficaces.
Les pays du G20 se sont réuni il y a deux semaines pour cordonner la distribution des vaccins. Ayant eux-mêmes des difficultés à s’en approvisionner, ils ont néanmoins eu une plume glissante pour introduire sans peine, quelques lignes dans leurs résolutions pour relever la nécessité de porter assistance aux pays pauvres, afin que les vaccins leur parviennent « également ». Ils ont carrément ignoré, ou font semblant de méconnaître que ces pays sont les moins touchés par la pandémie et qu’en conséquences, des vaccins, les pauvres n’en auront pas besoin. Devant cet d’hypocrisie d’où, sournoisement se profile un réajustement d’un projet mal préparé du monde capitaliste à l’encontre des pays pauvres, les dits pays doivent rester en alerte d’une prochaine arnaque.

La pandémie du Covid’19 restera une hantise pour les pays riches, et riche d’enseignement pour les pays pauvres. Et mon cri de cœur penche pour que ces pays de troisième rang soient capables d’en tirer des avantages des conséquences de cette dictature scientifique subi depuis plus de cinq décennies. Ceux qui prétendaient avoir le monopole du savoir se sont pris à leur propre jeux ; et il est temps que l’humilité, vertu qui a toujours habité les véritables scientifiques, reprenne un peu de place dans les débats scientifiques. La science, c’est l’humain qui la fait ; l’humain, cet être dont l’histoire de son évolution nous montre en tout point que son émancipation s’est faite en tâtonnant, est un être qui cherche à se parfaire de ses erreurs. Reconnaitre être dans l’erreur ou d’avoir pris une mauvaise voie n’est pas une déshumanisation. C’est pour cette raison que la science admet que celui qui publie le premier sa découverte devient le référent tant qu’il n’y aura pas de contre publication. Et quand bien même il se ferait contredire, il aura toujours impacté sur la démarche scientifique à l’origine de sa découverte contredite ; il aura été l’amorce du progrès. Le scientifique n’est pas essentiellement un dictateur, il est une part du chemin vers la connaissance.

La course au leadership sous l’arbitrage du Covid’19 a autorisé toutes les dérives inimaginables il y deux ans. Aucune des grandes boîtes de médicaments ne veut rester à la traine ; et il a fallu qu’un laboratoire annonce ses résultats prometteurs pour qu’un autre, deux jours plus tard en fasse de même. Hasard de calendrier nous dira-t-on. Je reste donc septique quant à l’efficacité du vaccin anti-covid’19 au regard de ce non-sens idéologique qui prône la santé du capitalise au détriment de la vie humaine ; et je me pose en pourfendeur pour déconseiller fortement la vaccination de masse. En l’état actuelle de l’épidémie, et au regard de mon expérience de prise en charge des personnes ayant été en contact du virus, je me suis suffisamment fait d’arguments pour croire que ce vaccin fera plus de mal que de bien.
La science à travers la médecine ne relève pas l’apanage du domaine du mystérieux, tout le monde peut en avoir des compétences à souhait ; c’est une question de volonté, de détermination et d’ambition. La crise sanitaire, surestimée dès le départ, aurait pu être éradiquée si l’on avait, dès l’instant initial, rendu la prise en charge simple. L’intuition d’un traitement et d’une prise en charge médicale, même quand elle n’est pas validée par des travaux bien menés, surtout quand elle est sans conséquences et sans dangers, doit et/ou peut être utilisé. La médecine est un art ne cesse-t-on de dire, il faudrait que les médecins se le remémorent. Vrai est cette maxime.

Dans un article intitulé « Le sérum des patients guéris du Covid’19 : Faux espoir ! » que j’ai publié au début de la pandémie (10 avril 2020) lorsque le monde scientifique de la planète entière était encore à explorer des pistes de recherche de traitement, je me posais déjà comme opposé à l’usage des sérums des patients guéris du Covid’19 comme traitement. Ma position, une intuition initialement, a pu être fondée sur des preuves qui me sont venu de ma pratique et surtout des notions de physiologie traitant du sérum. Et aujourd’hui, confortablement conforté par l’abandon de cette piste thérapeutique et et par les travaux que j’ai pu effectué ciblant l’efficacité de l’immunité induite par le Covid’19, je peux à nouveau avoir un point de vue précis sur la vaccination anti-covid’19.
Le Covid’19 est une maladie immunisante puisqu’on retrouve chez certaines personnes atteintes par la pathologie des traces d’IgM et/ou d’IgG spécifiques. Il n’y a plus aucun doute à cela, le Covid’19 confert bien une immunité. Par contre, l’on ne peut pas en l’état actuelle des connaissances estimer la durée d’immunisation. Pour avoir des données fiables et pour déterminer s’il est possible à un organisme de continuer à produire des anticorps, il faudrait faire des études sur un temps suffisamment long, estimable en terme d’années. Ce qui n’a jamais été fait. Et la problématique liée à la production d’anticorps en absence d’antigènes (coronavirus) est à poser comme question des débats. Les anticorps produits dans un organisme en réaction de la présence du coronavirus se comporte comme ceux contenus dans du sérum. Sans antigènes Coronavirus, la production d’anticorps anti-Covid’19 cesse, et le sérum se décharge des anticorps.
J’ai suivi 385 patients atteint de Covid’19 depuis le début de la pandémie, sur une période de 9 mois et 3 semaines. Tous ces cas, recrutés du 08 au 29 février 2020 (21 jours) période que j’ai arbitrairement choisi comme moment de la primo-infection, avec un âge médian de 35 ans, dont les extrêmes 5 mois et 92 ans, avaient eu des expressions symptomatologiques différentes avec une proportion de 19,22% qui n’avaient jamais été symptomatiques. Je me suis intéressé à l’études de deux aspects : immunité et anosmie. Ces travaux que je rendrais publique dans les prochains mois, reviendrons en détail sur ma méthodologie et les résultats, mais ici, succinctement, je vais m’atteler à démontrer que la vaccination nous fera plus de mal que de bien.

La vaccination est un processus qui permet à l’organisme qui reçoit un antigène d’activer la fabrication d’anticorps dirigés vers l’antigène cible pour qu’à l’avenir l’organisme soit en capacité de se défendre instantanément des effets pathogènes de cet antigène identifié. Les anticorps sont donc une « signature » et une « mémoire personnalisée » d’un organisme face à un antigène dont il a appris à connaitre son mode d’invasion. Le même antigène n’induira pas à l’identique le même anticorps dans l’organisme d’une autre personne ; cette particularité, influencée principalement par l’homéostasie de l’organisme, donnera à constater de discrètes variances, identifiables microscopiquement, qui feront que l’anticorps produit par un autre organisme se reconnaitra comme étranger et se désactivera. Et en même temps l’organisme hôte peut être appelé à identifier et reconnaitre l’anticorps étranger comme étant un antigène; ça compliquerait alors tout. Ce qui se traduit très souvent par un drame. Les rejets d’organes lors des greffes illustrent mieux ce processus. La vaccination est donc différente d’une administration d’anticorps-sérum dans la mesure où l’anticorps étranger donné à un organisme ne peut perdurer dans le temps car son élimination est rapide, en moyenne moins de deux ans. En outre, un anticorps étranger ne se réplique pas.

Si pour un nombre considérable de pathologies, les vaccins ont été la solution de la réduction de leur incidence, voire de leur éradication, le vaccin anti-covid’19, que l’on peut assimiler à celui de la grippe (les deux virus étant vraisemblablement apparentés), devrait s’administrer tous les trois mois comme l’aurait dû être celui de la grippe si le virus de la grippe avait une multi-saisonnalité pareille que celle du coronavirus ; le virus de la grippe, en raison de sa saisonnalité, est plus virulent en hiver qu’en d’autres saisons. Et du fait qu’il existe de sérieux points d’ombres quand à l’efficacité du vaccin anti-Covid’19 dont la production est basée sur une technique de la maniabilité et de la manipulation de l’ARNm, lequel ARNm injecté devant préalablement atteindre le cytoplasme des cellules cibles, ce qui n’est pas évident, il est probable que nous ayons besoin de faire administrer le vaccin anti-Covid’19 tous les 3 à 6 mois si le vaccin est efficace, et répété sur plusieurs années, au mieux des cas ; et il possible que le vaccin, en soi inédit, devienne un poison dont on n’a pas d’antidote. Le vaccin à ARNm est pour l’heure une fiction, un placebo. Il pourrait devenir un facteur de résistance aux coronavirus si l’organisme reconnaît l’ARNm comme une menace réelle dont il doit se défendre. Il fabriquera les anticorps anti-ARNm, lesquels, en cas d’une infection réelle aux coronavirus, se dirigerons contre les cellules infectées de l’organisme et impliquées dans la transcription de l’ARNm codant pour un Coronavirus. Ce qui, évidemment, engendrera un dysfonctionnement de l’organisme par morts cellulaires en chaîne qui, habituellement, se traduit très tardivement, en terme d’années. Ma conclusion: la vaccination par injection de l’ARNm est la pire des choses à faire en ce moment, c’est un vaccin qui nécessite une évaluation à très long terme.
Revenant sur mon étude, qui m’oblige pour l’instant à n’exposer qu’une partie de mes informations puisqu’il est en cours, laquelle comprenant une cohorte de 385 personnes (149 à Douala (Afrique), 91 à Yaoundé (Afrique) et 145 à Nice (France)) ayant été en contact du coronavirus et ou ayant été atteint du Covid’19, tous ayant eu initialement un test sérologique de Covid’19 positif et un test sérologique de VIH négatif (les seuls critères d’inclusion : le test de VIH a été inclus parce qu’à cette période d’initiation de l’étude, il y avait une suspicion de manipulation génétique du virus-HIV) durant la période initiale de la pandémie, et ayant bénéficié des tests sérologiques répétés à la fréquence d’un tous les 15 jours, – sur 187 patients ayant manifesté une seule fois des symptômes et après avoir fait un confinement strict de deux mois (puisqu’au début, qu’on ait été positif sur PCR ou au test sérologique, il s’en suivait systématiquement un auto-confinement), puis suivi scrupuleusement des gestes anti-covid’19, 134 ont eu une sérologie négative au bout de deux mois ; les 53 autres ont constaté leur séroconversion entre 3 et 4 mois, tout en respectant les gestes barrières et sans avoir fait des symptômes. – sur 74 cas, n’ayant manifesté aucun symptôme durant toute la durée de l’étude, 41 ont perdu leur immunité au bout de 4 mois, et 33 présentent au 30 novembre 2020 des trace d’anticorps. – sur 66 cas ayant eu deux épisodes symptomatiques, 58 n’ont conservé leur anticorps que durant 6 mois, et 8 l’ont encore au 30 novembre 2020. – sur les 58 autres, qui ont manifestés les symptômes trois fois (17), quatre fois (12), et cinq fois (29), 53 ont conservé leur immunité au 30 novembre 2020 et 5 parmi ceux qui l’ont fait trois fois, ont constaté leur séroconversion au 6ème mois. L’on notera que 332 ont cessé de manifester des symptômes au bout du 5ème mois d’étude, donc les 327 cas venant des groupes ayant eu 0 (74), 1 (187) et 2 (66) fois les symptômes, et 5 cas venant du groupe qui a eu 5 fois les symptômes. Et entre la période après le 5ème mois (30 juin 2020) au 30 novembre (9ème mois), 03 du groupe de ceux qui ont eu quatre fois les symptômes, et 23 du groupe de ceux qui ont eu cinq fois les symptômes, continuent de présenter des symptômes.

Au regard de ces données lapidaires, il est flagrant que plus souvent l’on a été en contact répété du coronavirus, plus longue est la persistance des anticorps. On notera 52,96%, 20,95% et 22,93% des cas ayant eu 1 ou 2 épisodes n’ont plus eu d’anticorps respectivement au bout du 2ème, 4ème et 6ème mois (elles avaient en commun le fait de n’avoir plus eu de symptômes au 4ème mois d’étude), et seul 3,16% ont pu avoir leur immunité durer sur une durée de 5 mois au moins après leur dernière manifestation clinique, contrairement au groupe qui auraient manifesté plus de trois fois les signes d’infections, avec 96,3% d’entre eux qui avaient toujours des anticorps au 9ème mois. Contre toute attente, pour ceux qui n’ont jamais manifesté ni symptômes, ni signes, 55,41% ont perdu leur anticorps au 4ème mois et 44,59% l’avaient toujours au 9ème mois.
Malgré la faiblesse majeure de cette étude par incapacité à prouver le nombre de fois que chaque sujet a été en contact du virus, puisque nous n’avons commencé qu’à faire des tests antigéniques que 4 mois après le début de l’étude, et bien qu’il n’est pas aisé de faire une distinction claire des symptômes et signes attribuables au Covid’19, nous avons pris le soin de faire, pour la période d’absence de tests antigénique, la distinction des signes et symptômes propre au Covid’19 d’avec les autres pathologies pouvant induire des symptomatologies identiques voire voisines en mettant l’accent sur un interrogatoire et un examen clinique avancée.
Les tests antigéniques ayant été effectués entre le 1er Juillet et le 30 novembre 2020 sur l’ensemble de la cohorte initialement du 1er au 17 juillet 2020, puis entre le 3 et 12 octobre 2020 et en fin d’étude (20 au 30 novembre 2020) sur les seuls 26 personnes qui avaient les symptômes clinques suggestifs, aucun n’a été testé positif.
Pour la prise en charge médicale, il n’a pas été mis en application un protocole thérapeutique dédié anti-Covid’19, chaque cas qui nécessitait un traitement médical recevait selon la spécificité de l’expression des symptômes et signes un traitement personalisé.
Pour ma part, tout en étant à l’études des données recueilli dans le but de présenter un travail bien ficelé et exhaustif, il m’a semblé important, voir urgent d’exposer mon intuition pour la période après la première phase de vaccination.
Mon intuition, confortée par les données de mon expérience dont j’apporterai les preuves quand j’aurais terminé avec l’analyse scrupuleuse de mes résultats, me pousse à prédire que la vaccination aura l’effet non-souhaité.

Ayant utilisé différents types de test sérologique durant mon étude, trois marques distinctes, j’ai pu faire le constat d’une discordance au niveau des résultats que me donnait le même échantillon sanguin. J’ai abouti à la conclusion que tous les trois fabricants ont certainement élaboré leurs tests sur des souches différentes du coronavirus 2019. De cette étude nous pensons qu’il n’y a pas un coronavirus, mais plusieurs coronavirus, sans exclure la possibilité d’une mutation dynamique du virus.
Au débuts de l’étude et des dépistages, il y avait de flagrantes discordances de résultats selon le test utilisé, mais vers la fin de l’étude, pour ceux qui avaient encore des anticorps, les trois tests se sont progressivement accordés sur les résultats. Au 30 novembre 2020, 9ème mois de l’étude, des 94 qui étaient encore positifs au test sérologique (soit 26,25% de l’ensemble de la cohorte), tous l’étaient aux trois différents tests, alors qu’en début de l’étude, 43, 17 et 34 avaient été seulement et respectivement positifs à la marque A, B et C.
De ce constat, et suite à l’échec de l’élaboration des tests sérologique, et certainement des tests antigéniques qui ont aussi suivi la même démarche scientifique, il va de soi que s’il faut fabriquer un vaccin, il faudrait que les laboratoires aient tenu compte de la multiplicité des coronavirus et d’avoir intégré l’éventualité de variété s’expression du coronavirus. A ce jour, aucun laboratoire n’en a tenu compte. Le vaccin Spoutnik ne marchera que pour les personnes atteintes de la souche utilisée pour son élaboration, et pareil pour Pfizer/BioNTech, Moderna, etc. qui ont déjà un vaccin prêt.
N’ayant eu à faire ce constat qu’avec trois types de tests sérologiques de laboratoire différents, qu’en sera-t-il s’il y en a réellement plus de deux dizaines d’autres forme de coronavirus 2019 ?

En fin, la pandémie du Covid’19 ne doit son expansion que parce que le monde scientifique l’a voulu. La sophistication de la médecine a été le premier obstacle qui a permis au virus de s’adapter dans les pays réputés être très avancé en médecine. Les populations des pays pauvres, ne pouvant prétendre aux même privilèges, ont dû se résoudre à faire face à ce virus, moins dangereux que la misère et la précarité. Mon étude montre que plus l’on a été en contact du virus, mieux on s’en sort. Pendant que l’occident peine à sortir de la crise sanitaire du Covid’19, les pays pauvres n’en parlent plus, et ils n’ont que leurs femmes et hommes politiques pour instaurer un climat de panique, et qui y trouvent là un prétexte d’enrichissement personnels. Les pays pauvres s’en sortent mieux parce qu’ils ont bénéficié du brassage de plusieurs souches et versions du virus. La réapparition des signes et symptômes quelques semaines après une phase clinique chez un patient est le signe que cette personne a été en contact d’un virus différent du précédent. L’immunité contre une pathologie n’est possible que si l’organisme lui-même fabrique ses propres anticorps. A l’évidence, le Covid’19 est une pathologie immunisante, même aucune certitude sur sa durée n’est prouvée. Par contre, le vaccin, s’il n’a tenu que d’une souche, ou d’une réplication du virus, n’aura pas d’efficacité. La vaccination est donc une solution, mais en l’état des connaissances du virus, sans avoir identifier toutes les copies du coronavirus 2019, nous courrons le risque de les rendre encore plus virulent.En fin, la pandémie du Covid’19 ne doit son expansion que parce que le monde scientifique l’a voulu. La sophistication de la médecine a été le premier obstacle qui a permis au virus de s’adapter dans les pays réputés être très avancé en médecine. Les populations des pays pauvres, ne pouvant prétendre aux même privilèges, ont dû se résoudre à faire face à ce virus, moins dangereux que la misère et la précarité. Mon étude montre que plus l’on a été en contact du virus, mieux on s’en sort. Pendant que l’occident peine à sortir de la crise sanitaire du Covid’19, les pays pauvres n’en parlent plus, et ils n’ont que leurs femmes et hommes politiques pour instaurer un climat de panique, et qui y trouvent là un prétexte d’enrichissement personnels. Les pays pauvres s’en sortent mieux parce qu’ils ont bénéficié du brassage de plusieurs souches et versions du virus. La réapparition des signes et symptômes quelques semaines après une phase clinique chez un patient est le signe que cette personne a été en contact d’un virus différent du précédent. L’immunité contre une pathologie n’est possible que si l’organisme lui-même fabrique ses propres anticorps. A l’évidence, le Covid’19 est une pathologie immunisante, même aucune certitude sur sa durée n’est prouvée. Par contre, le vaccin, s’il n’a tenu que d’une souche, ou d’une réplication du virus, n’aura pas d’efficacité. La vaccination est donc une solution, mais en l’état des connaissances du virus, sans avoir identifier toutes les copies du coronavirus 2019, nous courrons le risque de les rendre encore plus virulent.
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