La médecine moderne : une litanie des protocoles !

L’actualité du Covid’19 traine avec elle de nombreux ratés depuis l’apparition en novembre 2019 du nouveau Coronavirus. Conséquence d’une incompétence mondiale face à une maladie inconnue de beaucoup, et surtout par défaut d’un protocole applicable au Covid’19, mais plus encore par un souhait, largement partagé par les scientifiques à la solde de grosses boîtes de médicaments, pour une mise en place d’un vaste programme de vaccination à l’échelle planétaire (je reviendrai sur cette question de la vaccination dans l’article qui suivra). Cette pandémie a révélé à quel point la médecine moderne est essentiellement faite de protocoles, limitant les champs de compétence des médecins, qui sont désormais formés pour mettre en pratique des protocoles et suivre des procédures dont ils ne maîtrisent pas les contours. On leur a enlevé la compétence clinique d’accompagner le patient à la guérison. Ils sont désormais interdits de se fier à leurs impressions ; et ils reçoivent injonction de faire volteface de leur intuition de médecin. La médecine humaine n’étant pas une science exacte de par l’existence des domaines qui échappent aux raisonnement scientifiques et aux lois des sciences expérimentales, fait qu’une médecine des algorithmes et des calculs destine l’humanité vers son extinction, vers un retranchement où il n’y aura plus aucun lien entre « humain » et « humanité ». Nous sommes devenus, tous, des objets d’études.

La peur de la pandémie dépasse désormais le seul fait de voir le nombre de vies fauchées, mais de savoir que la santé des humains est confiée au bon vouloir des lobbies pharmaceutiques qui semblent avoir pris un control total sur les questions de santé, et qui, sous-couvert du principe de la rigueur scientifique, écarte systématiquement toutes thérapies issues des compétences autres que les leurs. Notre santé ne dépend plus de nous. Et il n’est plus loin l’instant que prophétise la science-fiction : La machine qui prend control de l’humain. Aux manettes, une toute petite frange de personnes gâtées qui la manœuvre. Le temps où l’humain n’a plus de valeur est déjà arrivé.

D’incohérences en incohérences dans les discours des autorités de la santé, il parait évident pour toute personne ouverte d’esprit qu’il y a bien une manipulation. Les affrontements entre scientifiques avec des opinions diverses et contradictoires, les femmes et hommes politiques d’Etats qui s’instituent comme expert de la santé, les laboratoires de recherches qui voient une aubaine pour se positionner au sommet des innovations médicales, des grands groupes pharmaceutiques qui trouvent qu’il faut faire compliqué pour renchérir la valeur des thérapies qu’ils proposent, et les industriels des équipements médicaux qui vantent leur ingénierie au mépris de toutes les règles éthiques, etc. Dans tout cela, il n’y a aucune place pour une médecine de la santé. Le monde avance vers une médecine de sélection, celle qui organise une purge de l’humanité. La corruption a eu raison des savants.

Tout concours à démontrer qu’il n’a pas été mis en avant un élan de générosité et d’empathie envers les personnes atteintes et victimes du Covid’19, mais que c’était la situation souhaitée et attendue par « ceux », qui comme un seul homme, étaient prêt, non pas pour faire barrage au Covid’19, même si manifestement il y a eu quelques décisions trompeuses en la matière (certainement grâce à la pression populaire ou « populiste »), et que je considère comme la partie visible de l’Iceberg, mais pour dissimuler ce qui est immergé et qui serait plus avantageux pour « eux ». Ce qui est fait dans cette partie cachée, il n’est pas nécessaire d’y aller pour le découvrir, la seule raison, au regard de ce qui est manifeste et accessible à toute personne ouverte d’esprit et suffisamment critique, permet de comprendre que nous sommes tous manipuler. On nous donne l’impression qu’on fait tout pour nous protéger, alors qu’on nous a juste mis sur un chemin où il n’y a pas moyens de reculer ou d’aller à côté. Tout l’occident est devenu une prison à ciel ouvert. L’humain est désormais considéré comme un objet dont il faut se servir pour des intérêts égoïstes de quelques personnes. Il est tout fait pour que ceux qui sont au sommet de la pyramide y restent seuls et le plus longtemps possible. Les pays dit développés, de par leur place sur cette pyramide, ont institué un système qui a fait de leur peuple, un peuple asservie bien que ceux-ci aient l’impression qu’ils sont au-dessus de la misère, bénéficiant de toutes les lois garantissant la liberté. La liberté, version occidentale, est une illusion. Contrairement aux pays pauvres, condamnés et asservies depuis longtemps, retardés sur le plan de la modernisation bien qu’ils soient encore sous la domination des occidentaux, sont les seuls qui peuvent encore espérer une liberté. Le déficit d’ « inintelligence » des dirigeants des pays pauvres sera un obstacle à la mise en place du plan Covid’19. Puisque pour sortir un pays du sous-développement, il faut avoir à la tête des Etats, des hommes et femmes intelligents et portés sur ce qui relève de la raison et du rationel ; ce n’est manifestement pas le cas pour les pays d’Afrique où la raison a fait place à la passion et à l’animalité.

Un peuple qui souffre et perdure dans la misère a certainement des dirigeants incompétents. Les comptables du mépris de la race noire sont leurs propres dirigeants. Sortir de la misère n’est qu’une question de volonté, non pas de la part du bas peuple, mais dès dirigeants. Mais le peuple a aussi une part de responsabilité : son inaction.