La méthode occidentale d’utilisation des africains comme cobayes

L’actualité récente de la pandémie du Covid’19, du fait de son impact catastrophique sur le plan économique et sanitaire, témoigne de la mise à l’épreuve des systèmes de santé de tous les pays occidentaux, et révèle désormais que le « nouveau coronavirus 2019 » est issue d’une manipulation génétique non concluante lors d’un processus de préparation d’un vaccin ; un vaccin selon certains contre le SARS-1 et pour d’autres contre le VIH. Des tests auraient été fait aux volontaires (on n’en doute), d’essais cliniques à Wuhan foyer de la pandémie. Ce type d’essai clinique est courant dans le monde de la recherche médicale ; tous les vaccins ont reçu leur AMM (autorisation de mise sur le marché) en suivant ce procédé. Les complications telles que nous observons avec le Covid’19 n’est donc pas inconnu, et tous les essais aboutissent à ce type de résultat dans plus de 80% des cas. Le tapage médiatique exagéré qui est fait autour de cette problématique résulte du fait que la maladie a frappé ceux qu’il ne fallait pas atteindre. C’est une histoire qui n’a pas fini de parler d’elle tant qu’il n’y aura pas vent du nom du groupe-laboratoire de recherche en cause.

La liberté d’expression qu’offre les réseaux sociaux a contribué à cette médiatisation ; mais elle a surtout permis, à part également, à tous les peuples du monde de s’informer, contribuant par la même occasion à limiter son impact et à mettre la pression sur les gouvernements pour avoir une thérapie d’urgence. Les lobbies pharmaceutiques ont trouvé sur leur chemin un obstacle qu’ils n’auraient pas pu imaginer, pouvant faire le poids face à leur plan d’actions qui aurait pour finalité de créer un vaccin rentable à l’échelle planétaire. L’on ne sait pas ce qui se serait passé si cela s’était apparenté à la gestion de la pandémie du VIH, qui a fait de nombreuses victimes (avec toutes ses conséquences), l’Afrique ayant payé, et continue à payer le prix fort. Et c’est à raison que les africains, face à la pandémie du Covid’19, ont pris conscience de la manipulation que subit la race noire, mais surtout du mépris qu’ils subissent face à un monde de la recherche scientifique qui les a élus comme cobaye. La rumeur qui court sur de possibles essais sur les africains noires, d’un vaccin reste donc fondée et digne de soulever une révolte contre le monde de la recherche, contre l’occident : une posture légitime.

Covid'19
Covid’19 vaccine

La nature a horreur d’être manipuler dans le but d’aller contre les lois de la nature. Nous le constatons avec la croissance en nombre des cas des cancers, très variés, dans le monde ; mais aussi avec l’émergence de nouvelles maladies et la chronicité de certaines pathologies. Le cas du Covid’19 n’est qu’un cas parmi d’innombrables pandémies qu’ont connu les africains et qui seraient passées inaperçues du fait que les organismes ont su contrôler les infections. D’ailleurs, tous les jours nous sommes soumis à de nombreuses agression de ce type, mais nous parvenons à guérir sans qu’on ne se rende compte d’avoir été agressé. La nature, quand elle a affaire à ce qui est naturel, parvient toujours à prendre le dessus. Et c’est aussi le cas avec les maladies induites par des agents biologiques non reconnus par l’organisme comme étant naturel, et dans ce cas, quel que soit la résistance du pathogène et la durée qu’il faut, l’organisme parviendra toujours à contrôler une pathologie, quitte à entrainer sa propre fin : c’est de cette façon qu’il faut appréhender les cancers, dont l’origine sont nos nouvelles habitudes alimentaires et médicinales. C’est dans ce contexte sanitaire que ce trouve les africains désormais, soumis continuellement aux infections et aux intoxications alimentaires et environnementales. Mais c’est aussi grâce à cette exposition qu’ils ont pu, à travers des décennies, se constituer une immunité contre un nombre innombrable d’infections, pouvant justifier une mortalité du Covid’19 quasi nulle en Afrique noire.

Cette faible mortalité des africains noirs et le degré faible de contagiosité du Covid’19 dans les territoires africains, grâce à une exposition à de nombreux pathogènes malgré eux, est à l’évidence, ce qui posera le premier grand obstacle à l’élaboration d’un vaccin, mais surtout à la décision de le testé sur les africains ; en l’état actuel des connaissances sur la pandémie, l’élaboration d’un vaccin et les procédures de son autorisation de mise sur le marché posera d’énorme problèmes. Il sera difficile aux firmes pharmaceutiques de convaincre de l’existence d’un vaccin qui n’aurait pas subi de tests préalables pour un virus dont la connaissance date de trois mois et qui est toujours inconnu après quatre mois de sa progression selon la chaine des étapes suivantes : contagion, incubation, manifestations cliniques, thérapie, guérison ou mort.

Un vaccin qui serait proposé aujourd’hui supposerait que le SARS-2 soit connu depuis plus de trois ans au moins, conformément aux procédures de l’élaboration d’un vaccin, lesquelles ayant été instituées comme normes et validées par toutes les institutions en charge du contrôle de la mise en vente des médicaments.

En l’état actuel des connaissances sur le Covid’19, il est évident que le virus n’est pas maitrisé et donc il n’y aurait pas de vaccins qui ait prouvé son efficacité. Il ne reste plus qu’aux mis-en-cause de reconnaitre qu’ils sont à l’origine de cette pandémie par voie de manipulation génétique et par essais cliniques ratés. Ce qui par la même occasion pose pour le futur un problème d’éthique dans la recherche médicale.

Depuis plus de quatre décennies, l’Afrique noire est une plaque tournante des essais thérapeutiques des grands groupes pharmaceutiques ; exposés à beaucoup d’infections venant de l’occident, les africains ont gardé une étiquette de populations infectes. Et pour cette crise sanitaire, le souhait des occidentaux était de voir un très grand nombre de victimes en Afrique pour argumenter des raisons d’imposer un vaccin au moyen d’essais cliniques rendus obligatoires. Malheureusement pour eux, ils sont obligés de revoir la copie de leur business plan. Ces derniers ont élaboré des procédés bien ficelés pour implémenter leur essai sans qu’il y vent de leur activité de recherche ; mais les africains sont de plus en plus très informé et moins naïfs : ils ne se laisseront pas étiquetés de Covid’19 comme cela a été fait par le passé avec le VIH ou récemment par le virus Ebola.

La plupart, voire la quasi-totalité, de toute les thérapies que l’occident propose pour sa population ont d’abord fait objet de tests en Afrique noire. Les cobayes ne sont plus des rats et souris de laboratoire ; avec ces animaux, ça prendrait trop de temps ; par contre, avec l’humain noir, ça ferait de très bon résultats dans un délai très court, le noir étant « l’animal idéal ». Leur technique est des plus innocentes, et c’est la raison pour laquelle, par voix des médias, ils mettent en place une propagande selon laquelle l’Afrique serait fortement touchée. Ce programme de formatage des esprits, propre aux médias occidentaux, cherche à faire grandir l’anxiété dans la population africaine face à cette pandémie, pour permettre une bonne utilisation des voies traditionnelles d’asservissement des peuples d’Afriques noires.

Ces voies traditionnelles que sont la corruption, une sous-éducation consentie par les autorités locales, la misère, l’oppression par les politiques et les gouvernements feraient des peuples noirs de potentiel cobayes. Peuples sacrifiés par leurs propre « frères » et « sœurs » au prix d’un « poster » avec un « géant » étranger. La condition de vie de ces populations, à la limite semblable aux même conditions d’existence des « animaux des forêts », les prédispose idéalement pour être manipulé sans difficultés et à très faible coût. A cette condition misérable s’ajoute le non accès à des formations pouvant leur permettre d’espérer une autonomie. Ainsi affaibli, les populations deviennent très réceptives et cèdent au prix d’un morceau de pain.

Mais leurs procédés ne se limitent surtout pas à cette évidence qui pourraient faire croire à certaines personnes qu’ils n’ont aucune responsabilité dans la manipulation des africains pour les rendre cobayes ; car les personnes les plus impliquées sont souvent les « proches ». Et parce que ces laboratoires de recherche auront besoin de chiffres et résultats pour leurs essais, ils mettront à contributions du personnel de santé qualifiés : chercheurs, médecins, étudiants et doctorants, infirmiers, pharmaciens, etc., et les autorités sanitaires gouvernementales qu’ils auront eu le temps de corrompre sans qu’ils ne s’en rendent compte. Ce sera donc certainement à travers les agents de santé que ce programme sera mis en exécution, mais aussi à travers des programmes d’études sur des maladies spécifiques au territoires africains, leur permettant des manœuvres plus larges. Et heureusement, depuis le début de la pandémie, les populations désertent les hôpitaux de peur de faire les frais. C’est une preuve rassurante qui montrent que les africains sont désormais vigilants et informés.

Pour exemple, quand un chercheur veut savoir si son intuition ou une piste de recherche scientifique peut être vérifiées dans le cas d’une maladie chronique et génétique, entre autres méthodes, il approchera les gens comme pour les aider en essayant d’abord un traitement avec des molécules que tout le monde connait et qui améliorerait légèrement l’état général, le temps pour lui de créer un climat de confiance ; et après il essayera un traitement qu’il sait d’avance que ça ne marchera pas, dans le but exprès d’aggraver la maladie ; ensuite, il passe sur une autre molécule, puis une autre, et ainsi de suite jusqu’à faire imposer le traitement prévu et souhaité. Cela n’est souvent pas sans conséquences, puisqu’il s’en suivra des défaillances de l’organisme, et même des handicaps. Mais pour eux, ce sera une autre occasion pour se lancer vers d’autres sujets de recherche, sachant que 80% d’essais sont souvent non concluants, entrainant une morbidité permanente à défaut d’entrainer la mort.

Les chercheurs exploiteront surtout les situations dramatiques qu’ils auront causées par cet essai pour d’autres essais, et ainsi de suite : quand ils commencent, ils ne s’arrêtent plus. D’ailleurs, ils ont plus d’intérêts à ce que les gens fassent des complications graves pour prouver véritablement leurs essais, mais aussi pour s’installer. Plus l’essais aura causé des morts, mieux seront affinés les protocoles et procédures d’administration du médicaments ou vaccins découvert.

C’est donc par ce modèle de manipulation qu’ils finissent par gagner la confiance du personnel de la santé et celle des patients qui n’aurons vu dans leurs gestes que de l’héroïsme, de la « gratuité des soins et médicaments » et la « bienveillance » des promoteurs. Les africains doivent savoir que tout essais clinique sur le noir cherche à pousser l’organisme à l’extrême pour voir jusqu’où il peut résister. Et la seule façon de le savoir c’est quand vient la mort. Donc les essais cherchent à tuer le noir.

Cette crise du Covid’19 a fait déserter les hôpitaux dans les pays d’Afrique noirs et a poussé les populations à une consommation de bio-médicaments très accessibles pour toutes les couches de la population. Contrairement à ce qui était projeté et attendu de l’impact de la pandémie, il semble que la mortalité soit réduite. L’impression général c’est qu’il y a de moins en moins de mort qu’en temps normal. Est-ce parce que les africains auraient une immunité très développée ? Il me semble que la réponse se trouve dans l’automédication à base des bio-médicaments qui prouvent leur efficacité. Ceci étant, il est légitime de poser l’hypothèse que, en Afrique, le fait d’aller dans un hôpital serait un facteur d’accroissement de la mortalité, puisqu’exposé aux erreurs de diagnostic et de prise en charge qui induisent très souvent à la chronicité des maladies. Les médecins africains devraient réfléchir sur leur pratique de la médecine. Le Covid’19 nous montre que rester à la maison retarderait la mort, et qu’aller à l’hôpital précipiterait vers la mort. Le monde de la recherche devrait donc se poser la question de savoir si le médicament est réellement un médicament qui respecte les lois de la nature ; et pour les Africains, l’occasion de mettre l’accent sur leur médecine traditionnelle, capable de les soigner à faible coût. Et pour finir, pendant que les pays occidentaux sont, chacun dans leur coin, contraints à gérer la crise avec des moyens très insuffisants et dans le doute de l’efficacité des méthodes employées, les africains ont pris conscience que tout est désormais à leur porté et qu’il n’y avait pas de raison d’attendre quelque chose de l’occident ; ils ont pris conscience qu’ils pouvaient fabriquer eux-mêmes leurs équipements de protection et médicaments. Et pour les gouvernants, c’est un message d’espoir pour une indépendance économique et sanitaire, l’occasion de bâtir une économie d’autosuffisance.