Selon une étude, il existerait trois souches distinctes du nouveau coronavirus en circulation dans le monde. Ce qui d’ailleurs, autorise la Chine à nier être le point de départ de la pandémie puisqu’elle pense que, sur la base des réflexions des occidentaux, l’épidémie en Chine a été provoquée par une « mutation précoce » qui s’est rapidement propagée au Royaume-Uni, les Etats-Unis, eux, seraient touchés par la « souche originale ». Les occidentaux, dépassés par la pandémie cherchent des raisons à leurs incompétences; mais l’on pense qu’ils pourraient détenir la paternité/maternité du virus. UN VIRUS EN CONSTANTE MUTATION POUR VAINCRE L’IMMUNITÉ disent-ils. Et face à cette pandémie, les médecins Africains sont dans la même enseigne que les autres, il n’y donc pas de raisons de demander de l’aide aux autres, pour qu’une fois, qu’on soit convaincus que nous n’avons pas besoin d’eux ; que nous n’aurons plus besoin d’eux.
Parallèlement, une autre étude montre que les africains, exposés à de nombreuses infections, auraient, certainement grâce à leurs multiples immunités aux contacts des différents agents pathogènes, développer une résistance, voire des multi-résistances.
De plus en plus, les vérités sortent et confirment l’hypothèse que le Covid-19 est bien une expérience ratée, incontrôlable, qui avait pour but de remplacer le business du VIH qui ne rapporte plus grand chose. D’ailleurs, vous trouverez des documents du business plan du Covid-19 avant même que cela ne commence à terroriser l’occident : un FOND MONDIAL CONTRE LE CORONAVIRUS.
La fin de l’occident est bien plus proche qu’on ne l’espérait. Leur piège s’est refermé sur eux. Et les africains devraient en profiter pour donner le COUP DE GRÂCE :
SI LES AFRICAINS NE CONSOMMENT PLUS RIEN DE CE QUI VIENT D’EUROPE, OU DE N’IMPORTE QUEL AUTRE PAYS COMME LA CHINE ET L’INDE, NOTAMMENT LES PRODUITS AGRO-ALIMENTAIRES, NOUS PLONGERONT LES ÉCONOMIES étrangères dans le néant, et leurs systèmes financiers en récession. L’ARGENT RESTERAIT donc en Afrique ET CIRCULERA DANS l’ÉCONOMIE locale. C’EST L’OCCASION A SAISIR, c’est indispensable pour mettre fin au mépris de l’occident.
LA SURPRODUCTION ALIMENTAIRE EST LE MOTEUR DE L’ÉCONOMIE DE L’EUROPE ET PLUS DE 40% DE LEUR PRODUCTION EST DESTINÉ À L’AFRIQUE NOIRE. L’Inde et la Chine viennent également en force. C’EST L’AFRIQUE QUI MAINTIENT EN PLACE L’ÉCONOMIE DE L’OCCIDENT et des pays de l’Asie. Ils ne viennent pas en Afrique pour nous aider, mais pour nous vendre leurs excédents, et en profitent pour faire du renseignement dans le but de mieux nous clouer. Nous n’avons pas besoins d’armes pour les chasser, juste un idéal à adopter : NE LEURS DONNONS PLUS NOTRE ARGENT.
L’Afrique noire francophone est leur plus grand marché alimentaire et est la cible de l’Europe et de l’Asie qui vient en force. Les pays occidentaux, avec la complicité des politiques qu’ils ont mis en place au moyens de la corruption et de la guerre, ont tout fait pour qu’il n’y ait pas d’agriculture qui suffise aux Africains pour les rendre dépendants, alors que nous avons les terres les plus fertiles et de très grande superficie comparé à ceux de l’occident. C’est donc le moment de prendre notre économie en main.
LES DIRIGEANTS AFRICAINS DOIVENT EN PROFITER POUR INDUIRE LES POPULATIONS À LA CONSOMMATION DE LA PRODUCTION LOCALE et interdire l’entrée dans leur territoire tout ce donc ils sont capables de produire ; interdire les produits transformés à l’étranger ; ne plus laisser aux seuls secteurs d’activité économiques privées le soin de créer des entreprises. Les institutions d’État doivent reprendre leur rôle de LABORATOIRE DE CRÉATION D’ENTREPRISES car ils sont les seuls à savoir ce que leurs pays importent le plus, et les besoins les plus urgents de leur population. Des stratégies, il n’y en manque pas… Il faudrait qu’ils apprennent à JOUER À DOUBLE RÔLE, à devenir patriote malgré l’épée de Damoclès que contrôle l’occident.
Pour ma part, quand je suis au Cameroun, je ne consomme que ce qui est produit au Cameroun. J’ai commencé ma contribution vers la libération de l’Afrique.
ALEXIS O. KAYA 
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