D’expériences au contact des médecins exerçant en Afrique, la plupart considèrent la pratique médicale comme une minutieuse application des procédures et protocoles, omettant son essence scientifique, laquelle est à la portée de toute personne ouverte d’esprit et avide de connaissance, pour considérer la médecine comme étant une révélation divine, quelque chose qui serait transmise par essence aux seuls occidentaux. De ce constat, il découle qu’il est impossible pour un médecin local de voir accepter par ses confrères les résultats de son expérience scientifique personnel tant que ses travaux ne seraient pas validés par un comité scientifique de l’occident, il s’en suit dénigrement à tout vent. Beaucoup n’osent pas donner un point de vue original sur la pandémie du Covid-19 par peur d’être raillés, pourtant bien outillés pour proposer des thérapies. Du fait que le continent soit reconnu pour être le lieu favorable par excellence pour les expériences scientifiques sur les humains, les populations d’Afrique se sont adaptés au fil du temps grâce à l’immunité que leur a conféré l’exposition au contact de multiples agents microbiens, qu’ils soient d’origine naturelle ou des produits des laboratoires) ; et l’immunité acquise au contact de la tuberculose, entre autres, serait un allié qui pourrait apporter un peu de sérénité dans ce combat que nous menons contre le Covid-19.
L’africain d’aujourd’hui ne survit qu’au moyen d’adaptation sur tous les plans. Il est de se fait dépendant de l’étranger et en même temps très vulnérable. La médecine en Afrique est une médecine d’adaptation, celle où l’on transpose les pratiques d’ailleurs pour une population non préparée. La plupart des recommandations ne tiennent pas compte des personnes concernées, on le leur impose, par une réplique exacte des procédés et protocoles mis en places ailleurs, oubliant les spécificités et réalités que vivent les peuples au quotidien. Tout est fait comme s’il n’y avait jamais existé une médecine en Afrique. Quelques tradi-praticiens arrivent à exercer leur art malgré le dédain qu’ils subissent de la communauté médicale. Ces personnes aux savoirs ancestrales dont s’instruisent les occidentaux, ce qui est paradoxale et devrait interpeller les médecins africains, subissent une chasse aux sorcières. Aussi, l’enseignement de la médecine en Afrique aura toujours un retard tant que les connaissances viendront d’ailleurs. Un retour aux sources auprès de véritables enseignant s’impose désormais pour faire face à une nature hostile que nous révèle la pandémie du Covid-19 ; et seul une médecine au contact de la nature est capable d’avoir raison de ce virus. La médecine en Afrique devra prendre désormais son autonomie pour être prêt à prendre en charge ses populations. C’est une tâche ardue et parsemée d’embuches venant des lobbies industriels et pharmaceutiques, mais non impossible ; un peu d’intelligence des gouvernements s’aura faire imposer une médecine d’Afrique.
La mendicité des gouvernements des pays d’Afrique a plongé leurs peuples dans un état où il est normal de faire comme ailleurs pour bénéfice des subventions ; ces gouvernements sont également réduits à se satisfaire du malheur des autres pour se positionner comme bienfaiteurs. Et malgré les pistes thérapeutiques très rassurantes et pouvant porter à plus d’optimisme comme celle du BCG qui sonne comme une évidence, on se plait à la repousser du revers de la main, parce que c’est trop simple et très rassurant pour une population qu’on a destiné à vivre avec la peur au quotidien ; une piste de ce genre serait moins génératrice de fond puisque dissonant avec les retombés pécuniaires miroitées en présence de la pandémie du Covid-19. Malheureusement pour eux, malgré eux vu que l’infection est plus dangereuse pour eux que pour la basse couche de la population, sous la contrainte médiatique, la thérapie Chloroquine et Azithromycine s’est imposée : un autre coup de poignard pour le monde de la finance des industries pharmaceutiques.

Pour ma part, pendant que d’autres tâtonnent et balbutient sur la thérapie providence, utilisant des moyens colossaux dont ils disposent et travaillent à mettre en vente un vaccin anti-Covid19, les pays pauvres d’Afrique devraient s’interroger et explorer les pistes pouvant justifier la capacité des africains noirs à être moins touchés alors que leurs pays sont réputés avoir des politiques sanitaires des plus déconcertantes et très mal outillées pour la cause ; la piste sérieuse du BCG, à mon avis, qui vraisemblablement est signe d’un espoir à horizon plus clair et porteur d’optimisme quant à la lutte contre la propagation de ce nouveau Coronavirus ; bien que digne d’intérêt, il pourrait changer toute la donne. Le but de cette investigation n’aura pas pour finalité d’atteindre une couverture vaccinale générale contre la tuberculose, mais de montrer que les conditions sanitaires des pays noirs ont conduit à une immunité générale contre un grand nombre de virus, bactéries et parasites.

Face aux cas dramatiques de cette pandémie, il est des observations qui ne passent pas inaperçues, les victimes recensées sont en majorité d’âge de 50 ans et plus. On dénombre quelques cas chez des plus jeunes et exceptionnellement chez les très jeunes aux Etats-Unis et le Royaume Uni. Déduction faite, ceci ferait peser l’hypothèse que les plus jeunes auraient une immunité contre le covid-19 contrairement aux personnes âgées qui n’en possèdent pas, ou qui ne l’auraient plus. Les quelques cas de personnes adultes malades, allant de la trentaine à la cinquantaine, ne peuvent pas constituer un alibi d’exclusion pouvant rejeter cette piste prophylactique. Bien qu’on n’en connaisse pas assez sur le Covid-19, il est évident que les enfants principalement, mais aussi quelques personnes adultes de moins de 50 ans possèdent une immunité qui leur est conférée de par leur immunisation d’enfance, avec des antigènes identifiables puisque la liste des vaccins n’est pas longue.
Tenant compte des différences des politiques sanitaires propre à chaque pays, principalement celles dont les populations sont les plus touchés, et qui comptent des victimes parmi les personnes âgées, on peut être poussé à formuler l’hypothèse selon laquelle ces personnes n’auraient pas une immunité suffisante qui leur aurait été conféré par les vaccins de l’enfance, ou n’en possèderaient plus.
Contrairement à ce qui est véhiculé du vaccin BCG qui confèrerait une immunité à vie, des tests de dépistage de l’immunité montrent que des personnes vivant dans les zones géographiques où la tuberculose a été éradiquée ont une immunité qui tend à disparaitre après la trentaine. Par ailleurs, le fait que les études sur l’immunité au BCG soient faites dans les pays où il n’y aurait plus des cas de tuberculose, serait l’élément qui aurait induit à limiter la durée d’immunité au BCG à 20 ans. Par contre, des études montrent le contraire quand elles sont faites dans les pays où il existe encore la tuberculose. L’immunité contre la tuberculose pourrait donc être présent chez des personnes de plus de soixante ans, notamment dans la frange des populations pauvres et démunies, exposée à la tuberculose et autres infections.
Il est encore une chose très importante que le monde de la recherche cherche à passer aux oubliettes : l’immunité contre un agent infectieux ne cible pas uniquement cet agent à l’origine d’une pathologie précise ; l’idée qu’un anticorps induit par la présence d’un microbes précis, virus ou bactéries, ait une action uniquement ciblée contre l’agent infectieux qui l’aurait induit est donc fausse. Une immunité induite par la tuberculose peut donc avoir une activité protectrice contre d’autres types d’infections, qu’elles soient d’origine bactériennes ou virales, voire parasitaires.
Pour le cas de l’immunité conférée par la vaccination BCG, le fait de vivre dans un environnement à fort potentiel de contagiosité à la tuberculose fait que, d’une manière ou d’une autres, au cours de leur vie, des personnes qui sont continuellement exposées à la contagion continueraient à renforcer leur immunité au contact des personnes malades ; cette particularité n’est certainement pas le cas pour les pays où la tuberculose a été éradiqué, et où le système de santé, suffisamment performant, contrecarre la propagation de la maladie. Les pays qui ont atteints leur objectif d’éradication de la tuberculose sont arrivés au point où toutes leurs politiques sanitaires ont exclu de leur programme de vaccination le BCG ; sauf en cas de potentiels risques…
Malgré la continuation de l’administration du vaccin BCG par les pays Européens jusqu’à une période très récente, et pour ne plus à en recommander, et pour certains à le sortir de la liste des vaccins obligatoires, voire les contre-indiquer, du fait de ne plus rencontrer de nouveaux cas, il va de soi qu’une bonne frange de la population n’a jamais été en contact avec le Bacillus Calmette-Guerin.

Ma démarche n’est que pure raisonnement qui découle des observations et analyses de la logique des raisonnements scientifiques pour aboutir à cette hypothèse : « L’immunité conféré par la vaccination de la première année de vie protégerait du Covid-19 ». De la liste de tous les vaccins, cette hypothèse s’affine par son rapprochement symptomatologique apparente aux symptômes observés chez les patient atteint du Covid-19. Le Covid-19 a la même symptomatologie clinique et radiologique que la tuberculose. Et si l’on part d’un principe de microbiologie qui prétend que face à une agression infectieuse, qu’elle soit d’origine bactérienne ou virale, et que ces pathogènes induisent tous la même réaction défensive et immunitaire par un organe précis, alors l’immunité acquise par l’agression de l’un peut immuniser contre l’autre.
N’étant pas dans les secrets des dieux pour dire si oui ou non nous sommes dans une situation de crise sanitaire programmée, c’est-à-dire un complot qui aurait pour finalité de réduire la population mondiale et plus précisément celle d’Afrique, tels que souhaité par « les grandes nations » qui ont décrétés que la population mondiale est excessive comparée aux ressources disponibles, je suis convaincu que, connaissant la façon dont procède l’occident et son expertise en techniques d’induction d’influence des comportements des peuples pour imposer ses vues aux pays d’Afrique dans le but d’inciter à la révolte ou à la guerre, je ne serais pas surpris que sous la question de la pandémie actuelle se cachent les lobbies industriels et les géants de la finance. Tenant compte de la grande pauvreté des pays noirs, situation précaire qui pousse les populations à se résigner, il me semble que cette crise viendra fragiliser les plus pauvres. Mais, qu’ils soient rassuré d’une chose : le fait que le Covid-19 s’en prend indifféremment aux riches et pauvres ne doit pas faire baisser la garde contre les manipulations occidentales. Les Africains doivent revenir à ce qui est fondamental en refusant tout ce qui est étranger ; et l’accent devra être mis sur tout ce qui est en rapport avec la santé : – refuser de consommer les aliments fabriqués à l’étranger et privilégier la consommation des produits locaux ; – être très critique envers les médecins (locaux au même titre que les étrangers) qui seront les acteurs en première ligne de la mise en œuvre de la politique d’extermination de la race noire que souhaite les occidentaux ; et devant toute prescription médicale, s’informer de la nécessité d’une thérapie que vous aura proposé le médecin ; – et plus que tout, adopter une posture de celui qui n’a pas besoin de l’autre. Il est donc question que l’Africain soit maître chez lui, et qu’il ne soit pas un cobaye ; il doit dire non au vaccin anti-Covid-19 qui n’a pas prouvé son efficacité.
Le Covid-19 a pris par surprise tous les pays du monde. Cela n’est pas dû à la méconnaissance de la pandémie, mais bien plutôt à la question des procédures et protocoles mises en place qui aurait été le premier frein et facteur de la propagation de l’infection. Les études sur le Covid-19 sont toutes récentes et précoces au regard des nouvelles facettes que nous présente le virus. Malgré l’absence d’études convaincantes et fondées selon les standards de la recherche scientifique, l’hypothèse d’une thérapie à base du vaccin BCG n’est pas sans intérêt de par sa similarité avec la symptomatologie propre au Covid-19. Et dans la même ligne d’idée, le fait de vivre dans un environnement exposé et soumis à la plupart des germes connus et notamment à la tuberculose permet de dire que les africains possède déjà une immunité. La question est désormais à le prouver ?
On a cru au départ que les pays chauds n’étaient pas propices à la prolifération des virus de la grippe et par conséquent du Covid-19 ; ce qui n’est pas faux vu que les conditions climatiques ne sont pas les mêmes, bien que la détection des contagions en zone tropicale le remet déjà en cause. Ce qui est encore fragrant, c’est que l’on ne compte pas des cas dramatiques en Afrique noir comme on le fait en Europe ou en Amérique du Nord. La plupart des cas de personnes décédés viennent d’occident. Du point de départ de la pandémie et de sa contagiosité, l’Afrique aurait dû être touché de la même façon, voire pire que l’Europe et l’Amérique du Nord puisque les flux de passagers vers tous ces continents sont pareils, mieux encore, la Chine immigre désormais majoritairement vers l’Afrique. Malgré l’absence de dépistage, on ne constate pas une augmentation anormale de la mortalité. Mieux encore, les hôpitaux sont vides. Aussi, je crois qu’il n’y a pas à avoir peur du Covid-19 et qu’il n’est pas besoin d’instituer une campagne de vaccination systématique contre la tuberculose, mais d’induire à une immunité contre la tuberculose par des voies moins dangereuses que nous propose la médecine traditionnelle. Ce dont il faut désormais avoir peur, ce sont les vaccins, les médicaments, et les aliments qui viendraient de l’étranger. Refuser tout cela nous conduira certainement à une autonomie globale.
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