Jamais un microbe n’aura autant fait parler de lui. Depuis son apparition à Wuhan, épicentre initial et foyer pandémique, en chine au courant de décembre 2019 (période officielle de déclaration par les autorités chinoises) mais vraisemblablement antérieur à cette datation, la nouvelle souche du SARS baptisée Covid-19 (SARS-CoV2), manifeste par atteinte des voies respiratoires pouvant aboutir à des formes très graves de détresses respiratoires par encombrement des branches pulmonaires avec une affinité très prononcée pour les bronchioles, a fait recensé au 31 mars 2020 près de 1.000.000 de cas confirmés, et plus de 50.000 déclarations (officielles) de décès dans le monde, l’Italie étant la plus affectée. Une crise sanitaire mondiale « inédite » (on en sait rien) qui a mis à l’épreuve tous les systèmes de santé du monde réputés les meilleurs, voire les plus avant-gardistes.
Devant une pandémie de la sorte et d’une envergure de très haute importance, vu le nombre de pays atteints, mais surtout de la classe de ces pays dits puissants, et de par sa résonnance médiatique hors du commun, voire à outrance, surtout depuis le changement de son épicentre de la Chine vers l’Europe et bientôt les USA, caractérisé par une propagation très rapide du virus mais non anormale, des mesures exceptionnelles ont été prises par tous les états du monde, certains par mimétisme faute de compétences et de savoir-faire ; des mesures allant du simple laisser-aller, pour une stimulation de l’immunité collective, au confinement total des populations, malgré eux, en passant par l’édiction en normes des règles d’hygiène pouvant faire barrières aux virus. C’est alors que ce qui n’était que le propre du monde de la science-fiction passe du domaine du rêve à la réalité. Un cauchemar pour le monde de la santé qui se savait inébranlable, mais aussi celui de la finance qui a commencé à assister à son effondrement.
A crise exceptionnelle, des mesures inhabituelles ont été prises pour contenir la propagation de l’infection et minimiser au maximum les pertes en vies humaines. Malgré les moyens déployés, le monde médical a fait montre de sa vulnérabilité issue du piège qu’il s’est lui-même tendu : en cause la question des protocoles et procédures qui se sont révélées lentes et déshumanisées sans être à la hauteur, puisque le monde scientifique s’en remet désormais à la bienveillance de la nature. Nous assistons théâtralement à une lutte vers un leadership qui s’organise, sans bonne orchestration, pour savoir qui sera le premier à arracher au Covid-19 la couronne qui consacrera « le sauveur de l’humanité ».
D’un coté on a des personnes qui proposent des thérapies à l’aveugle (est-ce vraiment le cas ?) pour limiter l’impact de la pandémie sans trop d’efforts ; et d’un autre, certaines miroitent déjà les bénéfices, et en profitent pour faire de la com à des fins égoïstes par la dramatisation de la situation, ou pour qu’elles ne soient pas taxées de laxistes et pour n’avoir rien fait au moyen des outils plagiés des ébauches mal-faites des stratégies de ripostes que propose l’OMS, avec pour conséquence une dérive vers une catastrophe sanitaire. D’autres en profitent pour faire la démonstration de leur puissance de frappe armée en mettant en avant l’existence d’une logistique de guerre.
On assiste également à la création des groupes d’études qui n’ont d’existences que de nom sans aucune originalité. Leur finalité est aussi d’exister, souhaitant que la situation perdure en s’enliassant pour s’instituer experts. Des vautours aux odorats très affinés pour reconnaitre que le Covid-19 est en train de redessiner une autre carte au trésor comme cela l’a été avec le business du VIH qui s’enlise dans sa période de vache maigre. Le Covid-19 serait-il une cadette du VIH, une nouvelle création ?
Certains ont qualifiés cet état de situation de guerre pour laisser diffuser la panique et fonder une ambiance d’anxiété afin d’en tirer le plus de bénéfice possible pour leurs industries pharmaceutiques et d’équipement médicaux ; une guerre contre un ennemi invisible, soit dite en passant. Est-ce qu’on en a trop fait ? ou pas assez ? Il est une certitude, l’interrogatoire a fini par révéler l’hypocrisie des gouvernements, ainsi que les mensonges d’Etats. Il y a donc de quoi douter de la bonne foi des « comités d’experts » et de croire qu’il y a de grands enjeux en plongeant les gens dans la panique et l’hystérie collective. A l’évidence, qu’on ait fait trop ou pas assez, voire rien, ils en sortent gagnant à tous les coups.
Un monde parfait, prêt et paré à toute éventualité fasse à n’importe quelle type d’agression ; cette image fantastique est désormais reléguée aux oubliettes. La crise nous a montré à quel point nous sommes vulnérables, et combien nous devrions revenir au bon sens et aux fondamentaux de notre humanité. Et comme par coups de baguettes magiques, tous les autres problèmes que connait notre société capitaliste ont trouvé une solution, soit par une accalmie consentie des conflits, soit par des accords de cesser le feu pour les régions en guerres, preuve que les conflits armés sont pures orchestration de la communauté internationale ; il n’y a plus de naufrages dans les océans depuis ce temps puisque les équipages des sous-marins chargés d’exécuter cette sale besogne sont affectés sur terre en renfort, aucun drame humain majeur ; les questions d’immigration se sont volatilisées, etc… Les acteurs du mal ont été frappé par leur condescendance, ils ne pouvaient s’imaginer être vulnérables. Ils ont redécouvert qu’ils sont aussi mortels.
Ce silence médiatique autour des drames humains, qu’en est-il ? Est-ce parce que les médias traditionnels ont braqué leur attention sur le Covid19 ? J’en doute fortement. Mais il est certain d’une chose, notre monde prendra un autre visage désormais par une redistribution des cartes au bénéfice des pays les plus marginalisés ; et certainement une autre mascarade verra le jour, avec la particularité nouvelle que les nouveaux masques seront différents.
Cette crise sanitaire à fait oublier les autres problèmes de notre société, non pas pour des raisons de priorité sanitaire mondiale ou par élan de générosité et d’humanisme, mais parce qu’elle est une nouvelle opportunité d’affiner les plans des lobbies et des grandes entreprises qui espèrent voir se réaliser dans un délai restreint leur vœu diabolique conçu depuis des décennies : la réduction de la population mondiale ; mais c’était sans compter avec l’éveil des peuples et de la liberté d’expression qu’offre les médias libre et les réseaux sociaux. Plan qui semble désormais mis en arrêt par le non control de la pandémie.
Ce plan de réduction démographie à l’échelle planétaire, qui visait essentiellement les populations les plus vulnérable comme celles d’Afrique, se serait vu à nouveau concrétisé par cette pandémie comme cela l’a été avec le VIH. Malheureusement pour ces lobbies esclavagistes, et heureusement pour les pauvres des pays sous-développés, la pandémie peine à se délocaliser vers les régions à fort potentiel de contagiosité, les empêchant de mettre en exécution leur projet maléfique de vaccination de masse, soi-disant pour les protéger du « mal ». Réflexion qui sonne très faux venant des organismes qui ont eu depuis des décennies une politique d’exploitation de la misère des populations des pays pauvres, et pour credo « anéantir ces populations comme on le ferait avec la peste ». L’interrogation sur leur projet est donc légitime : « Pourquoi quelqu’un devrait aller sauver l’étranger qu’il méprise et qu’il traite de pestiféré, alors que les habitants de sa propre maison et ses parents ont besoin urgemment de son aide ? ». La réponse logique serait qu’il a déjà peaufiner un plan d’extermination de masse. Peut-on y voir une redistribution des cartes aux profit des pays pauvres ? Cela aurait été une bonne occasion si ces pays pauvres n’avaient pas pour engouement la mendicité, celle qui les a corrompus depuis leurs entrailles.
La mascarade, c’est aussi ce que fait la médecine d’aujourd’hui. La médecine moderne est une médecine de l’oubli des principes directeur de la médecine ; c’est une ignorance totale de l’histoire de la médecine, laquelle se trouve résumée dans le serment d’Hippocrate : la médecine est avant tout un art, c’est-à-dire empreint profondément d’humanité.
« La médecine est un art » veut dire que les procédures et protocoles doivent être secondaires dans toute démarche qui consiste à aider le corps à recouvrer la santé ; la médecine, c’est l’écoute du corps malade pour l’accompagner à la guérison plutôt que l’imposition au corps malade d’un protocole thérapeutique, lequel est sensé venir en appui et en dernier recours pour aider les médecins mal outillés intellectuellement ou qui n’ont aucune expérience, donc sans « art ». Malheureusement, la dictature médicale qu’impose l’OMS et les autres organismes étatiques soutenus à leur base par les lobbies industrielles et pharmaceutiques en ont fixé l’inverse comme règle et normes : La médecine tendrait à se diaboliser par une communauté médicale qui se refuse à ramener la médecine à ses fondements pour faire place au plagiat des recommandations que dicte le monde de la finance.
Cette diabolisation de la pratique médicale sous l’influence des lobbies pharmaceutiques et financiers a formaté les médecins et les gouvernements des pays pauvres. La panique occupe de plus en plus l’espace. On se plait à voir croître le nombre de morts pour renforcer la peur et profiter de la manne Covid-19, au point d’oublier les fondamentaux de ce qui fait la science : « l’observation et l’expérience » pour atteindre le savoir qui redonnerait à l’être humain sa dignité, et permettrait de proposer le médicament qui taira les doutes sur l’origine du Covid-19.
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